Robert Laffont – janvier 1985 - 501 pages
Livre de Poche – mai 1987 - 602 pages
France Loisirs – janvier 1992 – 544 pages
Robert Laffont – septembre 1992 -
Pocket – décembre 1999 - 639 pages
Pocket – septembre 2000 – 639 pages
Quatrième de couverture :
40 millions de lecteurs.
31 éditions internationales.
170 000 lettres de lecteurs enthousiastes.
Une superproduction cinématographique.
Une presse mondiale unanime.
LA CITÉ DE LA JOIE est un chant de fraternité et d'amour adressé au peuple le plus déshérité de la planète, en même temps qu'un reportage déchirant, un document unique sur la capacité des hommes à triompher de la souffrance, de la misère et du malheur.
Auteur : Né en 1931, journaliste grand reporter à Paris Match il est aussi écrivain. Il a écrit plusieurs best-sellers internationaux avec Larry Collins.
En 1981, il rencontre Mère Térésa. C'est après cette rencontre qu'il écrira en 1985 : La cité de la joie. Ouvrage traduit en 30 langues qui sera porté à l'écran en 1992.
A son retour en France il fonde l'association "Action pour les enfants des lépreux de Calcutta" dont le but est de soutenir financièrement l'oeuvre de : James Stevens. Il continue ses actions humanitaires en 1997-1998-1999 par le lancement de 3 bâteaux dispensaire pour soigner les habitants de 57 îles du Golfe du Bengale, au large du Delta du Gange et du Brahmapoutre. En 2000/2001 il lance et inaugure : une clinique à Bhopal.
Mon avis :
C'est un livre que j'ai lu et relu de nombreuses fois. La Cité de la Joie, c'est le nom d'un bidonville de Calcutta et à travers l'histoire de différents personnages, le lecteur est plongé dans un monde extraordinaire.
C'est un livre qui m'a beaucoup marqué, il est incroyable de voir tant de joie et de sourires, d'humanité, de solidarité, d'amour et de fraternité dans un bidonville où le quotidien n'est que misère, saleté, pauvreté et difficulté...
Un livre bouleversant et une formidable leçon de vie.
En 1992, le livre a été adapté au cinéma par Roland Joffé avec avec Patrick Swayze. Je n'ai pas retrouvé dans le film tout ce que la lecture du livre avait pu me faire ressentir...