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1 avril 2012

Tout est sous contrôle – Hugh Laurie

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Sonatine - janvier 2009 – 380 pages

Points – mai 2010 – 425 pages

Pointdeux – avril 2011  - 630 pages

traduit de l'anglais par Jean-Luc Piningre

Titre original : The Gun Seller, 1996

Quatrième de couverture : 
Depuis qu'il a refusé 100 000 dollars pour liquider un homme d'affaires, la vie de Thomas Lang est un enfer. La morale est sauve, mais les conséquences seront lourdes ! Tout est sous contrôle est le premier roman de Hugh Laurie, acteur mondialement célèbre pour sa prestation dans la série Dr House.

Auteur : Scénariste et comédien, Hugh Laurie est né en 1959 à Oxford. Les droits d'adaptation de Tout est sous contrôle ont été achetés par la MGM.

Mon avis : (lu en mars 2012)
Hugh Laurie a écrit ce thriller avant le succès du Dr House.
Thomas Lang est un ancien militaire d'élite, on lui propose un contrat de 100 000 dollars pour tuer Mr. Woolf, un riche homme d'affaire londonien. Thomas refuse le « travail » et s'empresse de contacter la future victime pour la prévenir que sa tête est mise à prix. Et l'aventure commence...
C'est un roman d'espionnage parsemé de répliques où se mêlent l'ironie, le cynisme et un humour très british.
Tout comme dans la série Dr House je trouve plus amusant les frasques du cher Docteur plus que la résolution des énigmes médicales, dans ce livre ce sont les frasques et les réflexions décalées de Thomas Lang qui m'ont  plu, le côté roman d'espionnage m'a, je l'avoue, un peu ennuyé...
En effet, les bons mots de Thomas Lang deviennent vite des digressions qui parasitent l'intrigue et j'ai souvent perdu le fil de l'histoire...

Extrait : (début du livre)
Imaginez que vous deviez casser le bras de quelqu'un.
Le gauche ou le droit, aucune importance, la question étant de passer à l'acte, faute de quoi... enfin, qu'importe également. Disons seulement que, sinon, ça risque d'aller mal.
Le problème est en réalité le suivant : allez-vous au plus vite — crac ! oh, désolé, laissez-moilaissez-moi vous mettre une attelle, monsieur — ou faites-vous traîner l'affaire pendant huit bonnes minutes, en procédant par minuscules poussées, certes de plus en plus fortes, jusqu'à ce que la douleur devienne verte et rose, glacée, brûlante, et finalement insupportable au point de le faire gueuler comme un veau ?
Eh oui, bien sûr. C'est évident. La chose à faire, la seule chose à faire, c'est d'en finir le plus rapidement possible. Cassez-moi ce bras, payez la tournée, soyez un bon citoyen.
À moins que.
Que, que, que...

Et si vous détestiez la personne au bout dudit bras ? Ou, plus précisément : si vous la haïssiez grave ?
Je devais maintenant y réfléchir.
Je dis maintenant, mais en réalité je veux parler d'un moment passé ; le moment situé une fraction de seconde — quelle fraction, cependant ! — avant que mon poignet arrive aux environs de ma nuque, et que mon humérus gauche se brise en deux éléments plus ou moins faciles à recoller. Deux, voire beaucoup plus.

Parce que le bras dont on discute, voyez, c'est le mien. Pas le bras abstrait de quelque philosophe. L'os, la peau, les poils, la petite cicatrice blanche à la pointe du coude, cadeau d'un radiateur à accumulation de l'école primaire de Gateshill — tout ça, c'est à moi. C'est aussi le moment où je me demande si cet homme dans mon dos, qui me serre le poignet et le pousse avec un zèle quasi érotique en haut de ma colonne vertébrale... eh bien, si cet homme ne me haïrait pas. S'il ne me hait pas carrément.
Car il n'en finit pas.

logo_bibli_VLS_20

 Challenge Voisins, voisines
voisin_voisines2012
Grande-Bretagne

Challenge God Save The Livre
 Challenge_anglais

Lu dans le cadre du Challenge Défi Premier roman
d_fi_du_1er_roman

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Commentaires
A
Moi aussi je l'ai abandonné et je n'ai même pas apprécié l'humour...
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F
Je n'ai pas aimé, je n'ai même pas trouvé que l'intrigue était digne d'un pauvre policier, quant aux blagues... mouais, c'est lourd à la longue... je n'ai pas abandonné, mais presque...
Répondre
L
et la fin part en vrille !!!!
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S
Je n'ai pas aimé du tout et je l'ai d'ailleurs abandonné
Répondre
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